« L’EàD permet de suivre un enseignement universitaire à son rythme, sans renoncer à ses activités. On peut choisir ses matières, découvrir la théologie selon ses possibilités. L’enseignement à distance m’a permis d’accéder à la théologie, une discipline que je ne connaissais absolument pas auparavant. »
« Après mon travail, j’étudiais la théologie grâce aux cours par correspondance. Je l’ai fait pendant deux ans, c’est exigeant mais facilement conciliable avec une vie professionnelle. Avec l’arrivée du numérique, les étudiant à distance se sentiront moins seuls : ils pourront mieux communiquer entre eux et avec les enseignants. Un EàD numérisé est un atout pour l’enseignement de la théologie : la théologie devient plus accessible, plus lisible, plus ouverte sur le monde. »
« Étudiante à distance depuis deux années, l’organisation est parfois compliquée ! Mais l’EàD s’adapte à mon rythme de vie. Je peux concilier ma vie professionnelle et familiale avec ma vie d’apprenant. Avec l’EàD numérique, l’IPT se modernise et je m’en réjouis. Enfin, on tient compte de la réalité de l’apprenant d’aujourd’hui ! »
« L’enseignement à distance est une forme de décentralisation : pas une décentralisation des connaissances mais une décentralisation des moyens d’accès à la connaissance. L’EàD numérique est une chance pour l’IPT : on gagne en flexibilité et en réactivité. L’EàD, c’est un moyen de mieux faire rayonner la théologie plus largement. Avec l’arrivée d’un EàD numérique, l’IPT n’est plus à contre-courant de l’évolution des outils universitaires. »